Majoritaires dans les métiers à forte utilité sociale, les femmes ont été en première ligne lors de la crise sanitaire. La reconnaissance de leur engagement ne s’est pourtant pas traduite dans les actes: quasi aucune revalorisation financière, ni d’améliorations de leurs perspectives de carrière ou encore de leurs conditions de travail.
Alors qu’elles occupent majoritairement les postes les plus précaires, sur des temps partiels imposés et sur des emplois faiblement rémunérés. Ce n’est pas aux femmes de payer la crise: nous exigeons un plan d’urgence pour l’égalité.
Ci-joint le tract du SNUTER-FSU
Bonne lecture