En 2012, le COS recevra une subvention égale à 1,4 + 0,2 % de la masse salariale, soit un peu plus de 1 150 000 euros, si crédits de 1,4 % consommés et respect de la convention.
En 2013 et 2014 , le COS ne recevra qu’une subvention égale à 1 + 0,25 % de la masse salariale, soit environ 900 000 euros, si crédits de 1 % consommés et respect de la convention.
Maintenant, il faut ouvrir les négociations sur les nouvelles actions sociales
pour répondre aux attentes fortes des agents
En matière de restauration, la FSU continue de revendiquer, à moyen terme, l’ouverture d’un restaurant inter-entreprises ; pour autant, l’attribution de titres-restaurants est une solution à court terme permettant d’aider une majeure partie du personnel.
Pour les agents mangeant aujourd’hui à Monoprix, il faut des mesures d’accompagnement : salles de convivialité, menus attractifs dans les restaurants locaux.
En matière d’aide à la complémentaire santé, il faut que ce soit le processus de labellisation des mutuelles qui soit choisi par la ville pour garantir la liberté de choix de l’agent et ne pas retomber dans l’ornière Dexia…..
Il est impératif que les syndicats puissent contrôler que l’enveloppe des 3 millions pour la politique sociale soit bien dépensée, d’où la clause de revoyure décidée lors des négociations.